Lymphangiome vulvaire acquis après traitement d’un cancer gynécologique
Boufettal Houssine, Samouh Naïma
Corresponding author: Houssine Boufettal, Obstetrics and Gynecology Department, Ibn Rochd University Hospital, Hassan 2 University, Faculty of Medicine and Pharmacy, Casablanca, Morocco
Received: 11 Jan 2015 - Accepted: 09 Feb 2015 - Published: 13 Feb 2015
Domain: Clinical medicine
Keywords: Lymphangiome, vulve, acquis
©Boufettal Houssine et al. Pan African Medical Journal (ISSN: 1937-8688). This is an Open Access article distributed under the terms of the Creative Commons Attribution International 4.0 License (https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/), which permits unrestricted use, distribution, and reproduction in any medium, provided the original work is properly cited.
Cite this article: Boufettal Houssine et al. Lymphangiome vulvaire acquis après traitement d’un cancer gynécologique. Pan African Medical Journal. 2015;20:126. [doi: 10.11604/pamj.2015.20.126.6108]
Available online at: https://www.panafrican-med-journal.com//content/article/20/126/full
Lymphangiome vulvaire acquis après traitement d’un cancer gynécologique
Boufettal Houssine1,&, Samouh Naïma1
1Obstetrics and Gynecology Department, Ibn Rochd University Hospital, Hassan 2 University, Faculty of Medicine and Pharmacy, Casablanca, Morocco
&Auteur correspondant
Houssine Boufettal, Obstetrics and Gynecology Department, Ibn Rochd University Hospital, Hassan 2 University, Faculty of Medicine and Pharmacy, Casablanca, Morocco
Une patiente âgée de 38 ans, mère de deux enfants. Elle était opérée il y'a dix années pour un carcinome épidermoïde du col utérin, stade IIb proximal, par une colpectomie élargie avec lymphadénectomie pelvienne après une association radiothérapie et chimiothérapie première. Les suites opératoires étaient simples. Aucune récidive n'était notée. Elle présentait dans les suites opératoires tardives, un lymphœdème des membres inférieures, pour lequel elle bénéficiait de plusieurs séances de kinésithérapie, avec bonne évolution. Depuis deux années, elle présentait des lésions vésiculeuses des grandes lèvres, qui s'xacerbaient après le rasage (figure). Une biopsie cutanée des lésions vulvaires montrait un lymphangiome cutané superficiel et circonscrit.
Figure 1: lymphangiome vulvaire secondaire à un traitement d’un cancer gynécologique, avec des lésions vésiculeuses des grandes lèvres