Abstract

Les auteurs rapportent un cas d’un accident vasculaire cérébral ischémique constitué diagnostiqué fortuitement suite à un trouble de l’écriture chez une patiente enseignante, agée de 37 ans, avec antécédent d’hypertension artérielle. L’examen neurologique a conclu à une dysgraphie périphérique et les examens paracliniques faits nous ont permis de mettre en évidence cet accident ischémique constitué. La difficulté pour cette patiente à pouvoir écrire correctement une phrase nous a permis de conclure à la responsabilité de sa main droite dans l’ensemble des erreurs observées. Le trouble de l’écriture serait resté inaperçu si cette patiente n’avait pas été enseignante.